Duo Jatekok : sortie de leur nouvel album "Les Boys"
Naïri Badal et Adélaïde Panaget ont à cœur d’élargir les envies des mélomanes et d’attiser leur curiosité. C’est avec ce nouveau programme qu’elles ont été invitées à jouer à la Seine Musicale à Paris, au festival Piano à Lille ou encore en Belgique et en Chine.
Elles trouvent un chemin vers un public qui reconnaît leur sincérité, leur simplicité, leur talent et leur authenticité. Jatekok : jouer du piano, avec le piano, à quatre mains, à deux pianos, classique, contemporain, avec le public, avec d’autres musiciens, d’autres artistes. Jouer, c’est l’essence de leur Duo.
C’est lors d’un concours à Valberg en 2007 qu’elles formeront officiellement leur duo et interpréteront sur le conseil de Claire Désert une pièce contemporaine de Kurtág : Jatekok. Une œuvre qui cristallisera leur entente, faite de petites miniatures lyriques, contemplatives, pleines d’émotion. Jatekok, « le jeu » en hongrois, une idée qui fera leur signature.
Lauréates de deux grands concours internationaux pour duo de pianos, Rome en 2011 et Gand en 2013, elles construisent un répertoire à l’image de leur dynamisme et de leur expressivité. Leur premier album « Danses » distribué avec le label Mirare en 2015 est unanimement reconnu par la presse et le duo va le présenter dans de grands festivals et des scènes importantes de la musique classique : le festival de la Roque d’Anthéron, les folles journées de Nantes, l’Opéra de Varsovie, la Cité de la Musique à Paris, la salle Flagey de Bruxelles, le musée Dvorak à Prague, le théâtre Borsellino en Sicile, ou encore l’auditorium del Massimo à Rome.
Leur second album « les Boys » sorti en 2018 chez le label Alpha Classics rend hommage au duo américain Arthur Gold et Robert Fizdale. C’est l’occasion pour elles de mêler des pièces modernes et des œuvres du grand répertoire. Adélaïde et Naïri ont à cœur d’élargir les envies des mélomanes et d’attiser leur curiosité. C’est avec ce nouveau programme qu’elles ont été invitées à jouer à la Seine Musicale à Paris, au festival Piano à Lille ou encore en Belgique et en Chine.
Crédit photographe : Thibault Stipal